[Prospective-fiction] En quoi l'Open Source peut-il faire de la FRUGALITÉ un vecteur majeur vers une transformation écologique concrète ?
Ce challenge des quartiers est auto organisé par les habitants qui se dotent d’indicateurs. Ils choisissent d’utiliser un mix d’indicateurs, pour lesquels des données sont déjà disponibles et qui permettent de mesurer d’éventuelles progressions.
Cela permet de qualifier :
Ces objectifs communs suscitent de l’enthousiasme, tout le monde peut gagner et ça fait avancer les choses dans la métropole. On a donc plutôt intérêt à ce que le quartier d’à côté gagne aussi. Introduire un biais qui consisterait, par exemple, à remplir les poubelles du voisin et à ouvrir ses robinets pour que l’amélioration de sa performance soit prise en compte serait contreproductif pour la qualité de vie de tous.
Element OSF : on s'en fout. Le perturbateur des projets de mobilisation citoyenne. Contre
— Zolnir (@Hugobiwan)
Plusieurs écueils possibles (facteurs "On s'en fout") :
Contre le facteur OSF (twitt precedent) des clés dans les pratiques des communautés libres.
— Zolnir (@Hugobiwan)
L'open source aide à faire levier
Les pratiques des communautés du libre sont assez convaincantes en la matière. Leur observation permet de dégager des pistes d’action pour prévenir de tels désengagements :
- granularité des taches et répartition des responsabilités
- capacité à documenter,
- capacité à accueillir des micro-contributions (et donc à baisser la marche à l’entrée, baisser le niveau d’exigence)
- capacité de reconnaissances
- pratiques comme celles des carto parties, des makers avec une part événementielle, conviviale et ouverte
- part d’éducation utilisant les leviers numériques
Une histoire à dérouler demain, dont il n’est pas sûr qu’elle produise directement un « facteur 4 ». Elle pourrait néanmoins faire boule de neige : déclencher des actions qui en engageraient d’autres.